Je n'arrive pas à mettre de commentaire sur ton autre blog mais j'ai lu ton dernier texte et je suis très émue par ce que tu y racontes. Je ne connais cette maladie que via le roman de Delphine de Vigan, mais cela me peine énormément de te voir ainsi te débattre et t'épuiser autour de ta mère alors que tu as, par ailleurs, tout pour être heureuse. C'est tellement injuste... Bon courage à toi, même si je mesure que, de loin, ces petits mots ne servent pas à grand chose.