Encore une coïncidence ?
Deux messages en deux jours ! Attention ne nous emballons pas. Il est possible qu'une période de disette suive cette "boulimie" passagère.
Hier, après avoir écrit ma note ( et presque surprise au final d'en avoir dit autant), je suis allée me coucher. Avant cela, une mission : aller choisir mon nouveau livre de chevet.
Au pied du lit, au pied de l'étagère, git une pile de livres. On y trouve les livres lus récémement et pas encore rangés (oui, oui, il faudrait racheter une étagère), les livres lus par l'un et pas par l'autre et les livres en attente de deux lecteurs.
Sans avoir de véritable idée du sujet du livre, j'ai choisi celui-ci (livre acheté par mon mari... qui me dit : "ça doit être un livre de filles". Il existerait donc des livres de filles pour les filles et des livres de mecs pour les mecs ? Discussion à creuser. Bref, je digresse).
Mon lit, un livre, une couette et hop, je bouquine.
La dernière fois en lisant le dernier Delphine de Vigan, je m'étais dit que la vie nous réservait de drôles de coïncidences.
Page 30, de ce livre, je tombe sur ça :
"Que se passe-t-il en vous le jour où vous apprenez que la femme que vous aimez le plus au monde, votre mère s'est suicidée ? Quelle part de vous s'effondre pour toujours à cet instant ? En écrivant ces mots, je ne peux m'empêcher de penser à Delphine de Vigan et à son livre : "Rien ne s'oppose à la nuit." "L'idée ne pouvait pas m'atteindre, c'était inacceptable, c'était impossible, c'était non. " Et pourtant.